jeudi 21 août 2008

le chodoudou est de retour!

et oui, avec la fin de l'été c'est le chodoudou qui commence à arriver. Il vient nous réconforter pour la rentrée et nous faire des calins au creu du cou.

et pour cette rentrée, des boutons de roses accrocherons vos chodoudous.


je vous laisse aprécier....





















mercredi 28 novembre 2007

la smala du chodoudou

Dans la famille chodoudou il y a les discrets, avec le cousin "bois à l'automne"

Les voyageurs, avec la tatie "nuit à Téhéran"

Les sobres et chics, avec l'amie de la famille "Lady Lalala"

Les exantriques, avec les cousins éloignés "Puzzle"

lundi 8 octobre 2007

certificat de chodoudou




Autres produits "les accessoires d'audrey"

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"les accessoires d'audrey"


Le chodoudou est un accessoire de mode créé par Audrey Sigovic Garcia. Il s'attache autour de votre cou pour vous donner douceur et chaleur. Chaque chodoudou est unique, il a sa propre carte d'identité avec son nom et son numéro (méfiez-vous des immitations ;)).

Pour en adopter un vous pouvez vous renseigner à la boutique "la rose à pois" au 04 90 49 99 81.

La véritable histoire du Chodoudou

Il était une fois, dans des temps très anciens, des gens qui vivaient très heureux. Ils s'appelaient Timothée et Marguerite et avaient deux enfants, Charlotte et Valentin. Ils étaient très heureux et avaient beaucoup d'amis.Pour comprendre à quel point ils étaient heureux, il faut savoir comment on vivait à cette époque-là. Chaque enfant, à sa naissance, recevait un sac plein de chodoudoux. Je ne peux pas dire combien il y en avait dans ce sac on ne pouvait pas les compter. Ils étaient inépuisables. Lorsqu'une personne mettait la main dans son sac, elle trouvait toujours un chodoudoux. Les chodoudoux étaient très appréciés. Chaque fois que quelqu'un en recevait un, il se sentait chaud et doux de partout.Ceux qui n'en avaient pas régulièrement finissaient par attraper mal au dos, puis ils se ratatinaient, parfois même en mourraient. En ce temps-là, c'était très facile de se procurer des chodoudoux. Lorsque quelqu'un en avait envie, il s'approchait de toi et te demandait : " Je voudrais un chodoudoux ". Tu plongeais alors la main dans ton sac pour en sortir un chodoudou de la taille d'une main de petite fille.. Dès que le chodoudoux voyait le jour, il commençait à sourire et à s'épanouir en un grand et moelleux chodoudoux. Tu le posais alors sur l'épaule, la tête ou les genoux, et il se pelotonnait contre la peau en donnant des sensations chaleureuses et très agréables dans tout le corps.Les gens n'arrêtaient pas d'échanger des chodoudoux. et, comme ils étaient gratuits, on pouvait en avoir autant que l'on en voulait. Du coup, presque tout le monde vivait heureux et se sentait chaud et doux.Je dis " presque ", car quelqu'un n'était pas content de voir les gens échanger des chodoudoux. C'était la vilaine sorcière Belzépha. Elle était même très en colère. Les gens étaient tous si heureux que personne n'achetait plus ses philtres ni ses potions. Elle décida qu'il fallait que cela cesse et imagina un plan très méchant.Un beau matin, Belzépha s'approcha de Timothée et lui parla à l'oreille tandis qu'il regardait Marguerite et Charlotte jouer gaiement. Elle lui chuchota : " Vois-tu tous les chodoudoux que Marguerite donne à Charlotte? Tu sais, si elle continue comme cela, il n'en restera plus pour toi ". Timothée s'étonna : Tu veux dire qu'il n'y aura plus de chodoudoux dans notre sac chaque fois que l'on en voudra un? " " Absolument, répondit Belzépha. Quand il n'y en a plus, c'est fini ". Et elle s'envola en ricanant sur son balai. Timothée prit cela très au sérieux, et désormais, lorsque Marguerite faisait don d'un chodoudoux à quelqu'un d'autre que lui, il avait peur qu'il ne lui en reste plus.Et si la sorcière avait raison? Il aimait beaucoup les chodoudoux de Marguerite, et l'idée qu'il pourrait en manquer l'inquiétait profondément, et le mettait même en colère. Il se mit à la surveiller pour ne pas qu'elle gaspille les chodoudoux et en distribue trop aux enfants ou à n'importe qui.Puis il se plaignit chaque fois que Marguerite donnait un chodoudoux à quelqu'un d'autre que lui. Comme Marguerite l'aimait beaucoup, elle cessa d'offrir des chodoudoux aux autres et garda pour lui tout seul. Les enfants voyaient tout cela, et ils pensaient que ce n'était vraiment pas bien de refuser des chodoudoux à ceux qui vous en demandaient et en avaient envie. Mais eux aussi commencèrent à faire très attention à leurs chodoudoux. Ils surveillaient leurs parents attentivement, et quand ils trouvaient qu'ils donnaient trop de chodoudoux aux autres, ils s'en plaignaient. Ils étaient inquiets à l'idée que leurs parents gaspillent les chodoudoux.La vie avait bien changé : Le plan diabolique de la sorcière marchait! Ils avaient beau trouver des chodoudoux à chaque fois qu'ils plongeaient la main dans leur sac, ils le faisaient de moins en moins et devenaient à chaque jour plus avares. Bientôt tout le monde remarqua le manque de chodoudoux, et tout le monde se sentit moins chaud et moins doux.Les gens s'arrêtèrent de sourire, d'être gentils, certains commencèrent à se ratatiner, parfois même ils mouraient du manque de chodoudoux. Ils allaient de plus en plus souvent acheter des philtres et des potions à la sorcière. Ils savaient que cela ne servait à rien, mais ils n'avaient pas trouvé autre chose! La situation devint de plus en plus grave. Pourtant la vilaine Belzépha ne voulait pas que les gens meurent. Une fois morts, ils ne pouvaient plus rien lui acheter.Alors elle mit au point un nouveau plan. Elle distribua à chacun un sac qui ressemblait beaucoup à un sac des chodoudoux, sauf qu'il était froid, alors que celui qui contenait les chodoudoux était chaud. Dans ces sacs, Belzépha avait mis des froids-piquants. Ces froids-piquants ne rendaient pas ceux qui les recevaient chauds et doux, mais plutôt froids et hargneux. Cependant, c'était mieux que rien. Ils empêchaient les gens de se ratatiner. À partir de ce moment-là, lorsque quelqu'un disait : " Je voudrais un chodoudoux ", ceux qui craignaient d'épuiser leur réserve de chodoudoux répondaient : " Je ne peux pas vous donner un chodoudoux, mais voulez-vous un froid-piquant? ".Parfois, deux personnes se rencontraient en pensant qu'elles allaient s'offrir des chodoudoux, mais l'une changeait soudain d'avis, et finalement elles se donnaient des froids-piquants. Dorénavant, les gens mourraient presque plus, mais la plupart étaient malheureux, avaient froid et étaient hargneux. La vie devint encore plus difficile : Les chaodoudoux qui au début étaient disponibles comme l'air que l'on respire, devinrent de plus en plus rares. Les gens auraient fait n'importe quoi pour en obtenir.Avant l'arrivée de la sorcière, ils se réunissaient souvent par petits groupes pour échanger des chodoudoux, se faire plaisir sans compter, sans se soucier de qui offrait ou recevait le plus de chodoudoux. Depuis le plan de Belzépha, ils restaient par deux et gardaient les chodoudoux l'un pour l'autre. Quand ils se trompaient en offrant un chodoudoux à une autre personne, ils se sentaient coupable, sachant que leur partenaire souffrirait du manque.Ceux qui ne trouvaient personne pour leur faire don de chodoudoux étaient obligés de les acheter et devaient travailler de longues heures pour les gagner.Les chodoudoux étaient devenus si rares que certains prenaient des froids-piquants qui, eux, étaient innombrables et gratuits. Ils les recouvraient de plumes un peu douces pour cacher les piquants et les faisaient passer pour des chodoudoux. Mais ces faux chodoudoux compliquaient la situation. Par exemple, quand deux personnes se rencontraient et échangeaient des faux chodoudoux, elles s'attendaient à ressentir une douce chaleur et s'en réjouissaient à l'avance et, au lieu de cela, elles se sentaient très mal. Comme elles croyaient s'être donné de vrais chodoudoux, plus personne n'y comprenait rien!Évidemment comment comprendre que ses sensations désagréables étaient provoqués par les froids-piquants déguisés en faux chodoudoux? La vie était bien triste! Timothée se souvenait que tout avait commencé quand Belzépha leur avait fait croire qu'un jour où ils s'y attendraient pas, ils trouveraient leurs sacs de chodoudoux désespérément vides.Mais écoutez ce qui se passa. Une jeune femme gaie et épanouie, aux formes généreuses, arriva alors dans ce triste pays. Elle semblait ne jamais avoir entendu parler de la méchante sorcière et distribuait des chodoudoux en abondance sans crainte d'en manquer. Elle en offrait gratuitement, même sans qu'on lui en demande. Les gens l'appelèrent Audrey doudoux. Mais certains la désapprouvèrent parce qu'elle apprenait aux enfants à donner des chodoudoux sans avoir peur d'en manquer.Les enfants l'aimaient beaucoup parce qu'ils se sentaient bien avec elle. Eux aussi commencèrent à distribuer à nouveau des chodoudoux comme ils en avaient envie. Les grandes personnes étaient inquiètes et décidèrent de passer une loi pour protéger les enfants et les empêcher de gaspiller leurs chodoudoux.Malgré cette loi, beaucoup d'enfants continuèrent à échanger des chodoudoux chaque fois qu'ils en avaient envie et qu'on leur en demandait. Et comme il y avait beaucoup d'enfants, beaucoup d'enfants, presque au temps que les grandes personnes, il semblait que les enfants allaient gagner. À présent, on ne sait pas encore comment çà va finirEst-ce que les grandes personnes, avec leur loi, vont arrêter l'insouciance des enfants? Vont-elles se décider à suivre l'exemple de la jeune femme et les enfants et prendre le risque en supposant qu'il y aura toujours autant de chodoudoux que l'on voudra? Se souviendront-elles des jours heureux que leurs enfants veulent retrouver, du temps où les chodoudoux existaient en abondance parce qu'on les donnait sans compter?